Découvre le témoignage d’Agnès, Daronne Heureuse

fatigue maternelle maman cool terrible two éducation Mar 14, 2024

Aujourd’hui, chère Daronne, je ne vais pas te parler de moi, ni te partager une de mes expériences ou conseils. Aujourd’hui, je vais me mettre en retrait, et je vais laisser la parole à Agnès.

Agnès, Daronne heureuse, qui fait partie de la communauté du Club des Daronnes depuis plusieurs mois, et qui te partage son expérience.

Elle te raconte tout, sans filtre : Qui elle était, en tant que jeune maman ? Comment elle allait, quels étaient ses doutes et ses peurs ? Pourquoi elle a rejoint la communauté du Club des Daronnes. Pourquoi elle a suivi le programme Happy Mama, et dans la foulée Magic Two ? Qu'espère-t-elle trouver dans Le Club ?

Et, surtout, Agnès te parle d’elle, et elle te parle à toi.

 

Je suis Agnès, j’étais une maman comme beaucoup d’autres

 

J’avais tout pour être heureuse. Mais…

 

Hello, chère maman. 👋

Je suis Agnès, j’ai 33 ans. Je vis en couple depuis 7 ans, et je suis l’heureuse maman d’une petite fille. Hélèna, 2 ans et demi. 🧡

Ah, et je travaille aussi ! Temps plein, infirmière coordinatrice. J’ai des horaires de bureau, j’aime mon job, je ne me plains pas.

L’année où notre petite fille est née, a été l’année des grands changements !


Monsieur a changé de job. Et on a réalisé notre rêve de vie à la campagne : déménagement à une heure de chez nous, dans un petit village.
Ah, loin de tous nos amis aussi.

La première année, j’ai « tenu ».
Bizarre d’employer ce mot. Pourtant, c'est comme ça que je l’ai vécu. J’avais tout pour être heureuse, et pourtant l’impression de devoir tenir bon.

La deuxième année…
Pourquoi je pleure tous les soirs ? Je me dis que c’est l’hiver. Puis le printemps arrive. Et pourquoi, moi, ça ne va pas mieux ?

Morosité.
Stress.
Mal-être latent.
Angoisses.

Non, tout n’est pas tout noir. Mais je dois être honnête : je ne vais pas bien.

 

Et ma vie de jeune maman ?

 

Pareil. Jusqu’aux 1 an de ma fille… Oui, devenir maman m’a chamboulée, mais je trouve ça plutôt facile. Je cocoone, je câline, j’aime l’univers de bébé.

Passé un an, je réalise que les câlins et les soins ne suffisent plus. 

Mes angoisses d’adolescente, mon passé traumatique, tout remonte.

Je prends peur, une angoisse irrationnelle ! Max de stress, je me dis que je vais la traumatiser sur les 3 générations à venir.

Je me prends la tête.

Jusqu’à la question terrible, paralysante, culpabilisante : quoi faire d’elle ?

Et le papa, dans tout ça ?

C’est un papa, justement.

Notre couple n’allait pas mal : il est en pause.

Au second plan.

Statut quo.

Tout pour bébé.

 

Le Club des Daronnes : le déclic

 

Je me sens seule

 

En réalité, je n’étais pas seule. J’ai des amis. De la famille. Une belle-famille bienveillante. Mais, aujourd’hui, tout le monde veut respecter ta vie privée. Ne pas s’immiscer. Ne pas juger. Et, plutôt que de te donner des mauvais conseils, on s’abstient.

Ma vie sociale est en berne (j’ai déménagé à la naissance de bébé). Je me pose beaucoup de questions.

Monsieur est terre à terre. Il traverse une crise aussi, à sa façon, je le réaliserai plus tard. Mais on se croise.

Et c’est comme ça que tu te retrouves seule. Seule avec tes questions.

 

Scroller à l’infini : la culpabilité s’invite

 

Je ne suis pas une propagande pour l’éducation positive. Mais j’ai besoin de réponses. Je plonge dans le merveilleux monde des conseils en parentalité. Réseaux sociaux, me voilà. 👋

Je scrolle à l’infini.

Je finis par culpabiliser devant les conseils en perfection que je lis.

D’un coup, le souci de bien faire se transforme en angoisse de mal faire.

Je consulte une psy. Mais je ne trouve pas mes réponses.

Mes questions deviennent plus sombres : Est-ce que je suis capable ? Est-ce que j’ai bien fait d’avoir un enfant ??

 

Le Club des Daronnes : je peux enfin déculpabiliser !

 

Je tombe un jour par hasard sur le Club des Daronnes.

En un mot : déculpabilisant ! Ça me fait du bien, c’est frais, ça me plaît beaucoup. Je m’abonne.

« La famille, ça n’est pas l’enfant au centre, mais tout le monde à sa place. » 

Ce post est un vrai déclic. Je réalise que j’ai mis ma fille au centre de ma vie, que je le veuille ou non. Et qu’il y a un problème.

Le programme Happy Mama est arrivé à ce moment-là. Et je me suis dit que je n’avais rien à perdre. J’ai acheté le programme à l’occasion d’une promotion.

Pour être honnête, le jour où j’ai acheté le programme, mes émotions étaient confuses.

Je culpabilisais : comment oses-tu mettre une telle somme pour toi

Mais Sarah a su trouver les mots : c’est un cadeau que tu te fais à toi-même.

Elle avait raison.

L’accompagnement du Club des Daronnes

 

Happy Mamma : je ne suis plus seule

 

Quand j’ai rejoint le programme Happy Mama, j’avais très peur d’intégrer des groupes WhatsApp, de rencontrer d’autres mamans. En fait, je réalise que j’étais en mode jugement permanent. Comparaison compulsive : Est-ce qu’elle fait mieux que moi ? Est-ce que je suis aussi bien qu’elle ?

Et j’ai trouvé tout sauf ça. Dès la première séance, Sarah a posé les bases. Elle est centrale, en tant que coach, mais elle laisse vie au groupe, qui développe sa propre force. Franchement, c’est magique !

Pas de jugement, zéro compétition. Que de la positivité et de la sororité. J’ai eu l’impression de remplir ma jauge !

👉🏻 Ce que je pensais trouver : des conseils sur l’éducation de ma fille.

👉🏻 Ce que j’ai trouvé : une bouffée d’air frais, un groupe de soutien.

J’ai fait un travail sur moi-même profond, très différent de celui que j’avais mené en thérapie. C’est concret : on fait les exercices pendant les séances. Tu ne peux pas te défiler !

À chaque session, je repartais avec une clé.

Et le bonus, ce à quoi je ne m’attendais pas : la communauté, avec les autres mamans. Le Club des Daronnes porte bien son nom.

 

Magic Two : pas besoin d’aller au bout !

 

Au départ, je ne me sentais pas concernée par Magic Two. Comme je l’ai dit, jusqu’à un an, l’univers bébé, c’était plutôt facile pour moi.

À deux ans, les premières colères sont arrivées. Puis ma fille a commencé à taper. Pas n’importe qui : moi, sa maman.

Et là, j'ai réalisé que je ne savais pas comment faire.

👉🏻 Si j’étais ferme, je me demandais après : est-ce que j’ai été trop sévère ? J’avais peur de la traumatiser. Toujours dans la demi-mesure…

👉🏻 Et si j’étais plus souple, je me flagellais : tu es trop laxiste, tu ne te fais pas respecter.

Les questions se bousculaient, et je changeais tout le temps de posture. Je n’avais pas de cohérence, et je voyais bien qu’elle sentait cette limite.

En fait, je savais être une maman-câlin. Un refuge pour ma fille. Mais je ne savais pas être le reste. Être maman, tout simplement.

J’ai trouvé le programme concret, logique, limpide. Et surtout : applicable !

Il pose les piliers. Rappelle la place de chacun dans la famille, pour trouver l’équilibre. C’est très concret, ça m’a outillée. Je pioche dans les exemples pour les mettre en pratique dans ma propre vie.

Les piliers : la place de chacun dans la famille, trouver l’équilibre.

Pour être honnête, je n’ai pas fini le programme. Mais je n’en ai pas besoin, car j’ai trouvé mon cadre.

J’ai arrêté de me faire une montagne de tout. Je ne suis pas parfaite, et alors ? La maman parfaite n’existe pas. 😉

 

Et maintenant, je suis une maman libérée !

 

Mon état d’esprit, mon mindset

 

Les programmes ont impacté toute ma vie. J’ai même du mal à trouver des exemples concrets.

J’ai pris conscience de mes ressources : mes piliers. Et, surtout, je suis en mesure de les appliquer !

Le baby clash est arrivé au milieu de tout ça, et j’ai réussi à le gérer sans m’effondrer. Je me sens plus solide.

J’ai trouvé des copines, des soutiens à toute épreuve avec les autres Daronnes. Hello le groupe 👋 On a même prévu de se voir In Real Life bientôt.

 

Ma relation avec ma fille

 

Ma relation avec ma fille s’est améliorée, parce que j’ai une meilleure estime de moi.

Mon manque de confiance en moi avait été exacerbé par la maternité : je suis nulle, je n’ai rien à lui apporter…

Maintenant, j’ai conscience que oui, j’ai des choses positives à transmettre. Que je ne suis pas une mauvaise personne (même si c’est encore dur à dire à voix haute…).  

Je ne cherche plus à être la maman parfaite d’Instagram. Je sais poser mes besoins. Et choisir ce qui me fait plaisir.

Un exemple : je ne vais pas me forcer à mener des ateliers Montessori sensoriels alors que je n’ai aucun sens artistique et que je n’y prends pas plaisir.

Les activités que je choisis sont un plaisir et une valeur ajoutée.

 

Le bilan : je me suis retrouvée !

 

Il y a un petit côté presque magique : je n’ai plus de tensions musculaires, j’ai moins de migraines. Je dors mieux. Je ne panique plus de rester plusieurs jours seule avec ma fille. J’ai confiance dans ma capacité à gérer.

Dès que j’avais du temps pour moi, c’était la panique. Je passais des heures à scroller, je ne savais plus remplir mon temps. Maintenant, j'ai retrouvé mon univers. Je me suis même découvert une passion pour les maquettes !

Mon travail sur moi n’est pas terminé. D’ailleurs j’ai rempilé : je vais rejoindre le programme Le Club. Je sens que le terrain est encore fragile, et j’ai besoin de tourner une page.

Je vais mieux, mais je veux être solide. Mais j’ai compris que c’est un chemin, et que j’ai le droit d’être heureuse en cours de route. Quand j’ai signé pour le Club, je l’ai fait sans angoisse.

 

Ce que j’ai envie de dire aux mamans qui hésitent

 

J’ai envie de parler aux mamans qui nous suivent, qui nous regardent de plus ou moins loin, et qui hésitent.

J’ai envie de leur dire : oui, nous sommes des mamans. Oui, nos enfants sont notre priorité. Mais on a le droit d’exister en tant que personne.

Alors fonce ! 

Ce que tu ressens n’est pas une fatalité.

Le programme te fera l’effet d’une bonne douche ⇒ détente immédiate 😄

Tu te sentiras mieux tout de suite. Au départ de façon ponctuelle, puis ça infusera de plus en plus.

Tu ne seras plus seule : tu auras Sarah à tes côtés. Avec son coaching et ses conseils, elle t’aidera à trouver les ressources que tu as en toi.

Et tu vas trouver un groupe, une sororité.

Et, surtout, tu vas te mettre au premier plan de ta vie !

J’ai envie de te dire que la maman parfaite n’existe pas. Que tes enfants vont bien, qu’ils t’ont toi, et que tu veux le mieux. Et, le plus important : tu as les ressources en toi pour aller mieux.

J’ai envie de te dire : détends-toi. Lâche prise. Ose.

Le Courrier des Daronnes

La newsletter anti-culpabilité et empowerment des mamans c'est ici !

Toutes les semaines, je te partage mes réflexions, inspirations et astuces pour kiffer ta vie de daronne !

tu peux te désinscrire quand tu le souhaites, Ton adresse ne sera jamais vendue ou partagée.